Mélodie en bas-fond
Ils réveillent les morts vivant, ceux qui sont à la porte de leur enfer, ceux qui de toutes les horreurs, le crime et la lâcheté ont saigné la TUNISIE, tout étonnés encore sur leurs ergots de vieux coqs de service, oui ils tenaient , ils ont tenus pendant plus de cinquante ans la bougie des calamités et festoyés des miettes des maîtres absolu des céans et leurs faits des princes des ténèbres, ténébristes un jour, ténébristes toujours, c'est l'inhumain et l'histoire qui parlent; cette fausse gauche de la haine et de l'ignorance, celle qui a donné depuis plus de 50 ans à la dictature, ses plus grands délateurs, éradicateurs, collaborateurs Lavalistes, cette fausse gauche indigne, même pas Caviar, des aliénés de l'instant de toutes les instants qui font l'alimentaire, pauvre dans l'argumentaire, aveugle et désespérée , la voilà qui avec zèle et grâce à la démocratie , elle joue les oies du Colisée, HACHED, JAURES doivent se retourner dans leurs tombes de cette gigue des lapidaires et des fossoyeurs de la sociale , de l'Être tunisien dans l'exultation folle de son néant; SFAR, SADRI,LIMAN et nous autres de toutes les célébrations de la vertu militante et son éthique, nous sourions ...jaunes, mais pas surpris, nous les avons vu et senti faire depuis plus de cinquante ans, aujourd'hui qu'ils sont sur la touche, comme hier quand ils caressaient la bête immonde mauve dans le sens du poil, nous tirons tout simplement la chasse, et vogue la galère, les égouts de l'histoire ne déborderont jamais.
L'exigence démocratique des tunisiens qu'ils ont depuis toujours combattue avec les argumentaires de ben ALI, souvent, très souvent avec zèle aussi, ô combien !! Au service de la dictature qui saignait notre peuple , toujours, toujours dans la sublimation de l' acculturation et la prébende, mortelle addiction pour cette ignoble et dérisoire meute de caniches, les voilà bavant et offert aux simagrées brutales de tout ce que la TUNISIE compte de chas-been, tous applaudissant comme au bon temps de la mauvitude, les mauviettes, assis sur l'infect trône de cette dialyse collective , régnant sur ces soudards hirsutes où les oriflammes sont plus nombreux que les "vérités" des convictions, BCE est encore étonné de la nature humaine dans ce cirque surréaliste qui tient plus de la psychiatrie, que de l'art impressionniste, où plébiscité comme un César de pacotille, les esclaves de sa petite splendeur d'hier lui faisaient allégeance, toute offertes, toutes vagissantes, ses tentaculent en tremblent encore, un dernier outrage avant qu'il ne passe l'arme à gauche, merde à Vauban, le diable, Satan est le seul maillot jaune et il sera son porteur d'eau, un de plus; pas un ne manquait à l'appel, ils sont tous venus, ils se sont tous là, aplatis dans leur habituelle gymnastique rituelle, du PDP à ces partis artificiels, au communistes staliniens d'ETTAJDID, mais eux, depuis leur gourou HARMEL , la question ne se posait plus, le danger le plus virulent qui les menace, c'est juste l'expression démocratique du peuple tunisien.
Rien ne leur fait honte, ils implorent même les morts et trouvent toutes les qualité au véritable père de la dictature tunisienne, le mégalomane suprême, et ils nous chantent la ballade des menteurs professionnels gonflés qu'ils sont du vide sidéral, du mou pour les chats qui leur sert de cervelle de Colibri, ils nous ânonnent l'éternelle sempiternelle lithophanie, BOURGUIBA était un dictateur "éclairé", et Zinétron un dictateur aveugle, le premier un dictateur gentil et et sa chose, son fils prodige, son Frankenstein, un dictateur méchant. Réveillez-vous donc, les usurpateurs, il n'existe qu'une sorte de dictateurs, et ils sont tous des ordures qui finissent toujours dans les gémonies, eux qui sont le pur produit de la forge du diable.